Je viens d’être nommé Délégué interministériel au développement durable par le Conseil des ministres du 7 juillet 2004. [ [Communiqué diffusé par le service de presse de la Présidence de la République ]] [ [décret du 7 juillet ]]
Cette nouvelle responsabilité, dont le champ avait été précisé dans un décret du Conseil des Ministres du 23 juin
est pour moi le prolongement d’un engagement ancien, mais surtout un défi immense.
Ma présidence de la Commission Française du Développement Durable en 1996 se situait dans un contexte de positionnement du discours. Je n’ai cessé depuis d’intervenir dans les enceintes les plus variées.
Aujourd’hui après les travaux du Conseil National du Développement Durable et la Stratégie Nationale de Développement Durable il est question de mise en œuvre et d’évaluation.
Au moment ou le succès du terme de développement durable se paie par une dilution de son sens et une atténuation de ses ambitions, la mise en mouvement de l’administration et de la France dans toutes ses composantes ne peut être l’œuvre d’un seul.
Je compte m’appuyer sur les aspirations largement partagées de contribuer à un monde plus équitable, responsable et viable en libérant les énergies et valorisant le travail de tous ceux qui sont aujourd’hui acteurs de ce changement.